JEAN-MARC A LÂCHÉ LES RENNES
Quelle ne fut pas ma déception en m'apercevant de ça : le blog de Jean-Marc Morandini.
Je suis consterné qu'on puisse s'acharner sur quelqu'un à ce point. Pour vous faire une idée, voici l'article vitriolé de Libé.
Comment peut-on déverser une telle haine sur une personne à ce point ? Est-ce parce-que Libé, qui n'arrive plus à vendre ses numéros et qui fait face à une chute inexorable de sa qualité rédactionnelle, essaie le tout pour le tout en publiant des textes haineux pour se faire remarquer ?
OK, je ne défends pas non plus le livre de Jean-Marc... Il est vrai que présenter des "pages à découper" en guise de post-its était osé et que d'avoir relevé une analyse externe comme quoi "les Schtroumphs" était la représentation même d'une communauté homosexuelle (sic !) était maladroit...
Ceci étant dit, il semblerait que Rapahël et Isabelle, en lisant leur article "entre les lignes", aient profité de la sortie du livre pour descendre Jean-Marc. C'est lisible, ça saute aux yeux : ils détestent Jean-Marc, font des comparaisons minables d'audience (pauvre preuve) et lui déversent littéralement un épais vomis d'insanités et de haine. Et ça, c'est un truc que j'ai jamais compris : les gens qui écrivent (pratiquement) uniquement pour détester les gens, montrer leur haine.
Serait-ce du sadisme ? J'ai vécu moi-même la même chose avec un c******** qui, à chaque fois qu'il m'écrivait, il me descendait en flèche, exprimait sa haine sur tout ce que je fais et pire que tout, les rares fois (4 en 10 mois) où j'ai exposé mes stats et les revues de presse à mon sujet, m'accusait de "me la péter", d'avoir la grosse tête, bref, un mec qui ne m'aime pas, point barre (il se reconnaîtra). Je n'ai jamais compris ça : comment peut-on passer son temps à descendre les gens ?
C'est bas, c'est minable et c'est pitoyable. Contrairement à ce -désormais- pitoyable quotidien "pseudo-propagando-socialite-au-râs-les-pâquerettes", moi je n'ai rien à perdre ; Jean-Marc non plus (à part son blog maintenant) ; alors qu'il ne reste à Libé que quelques mois à vivre, après moults plans sociaux et une baisse inexorable du nombre de lecteurs... Dont moi, à partir de maintenant.
Je le lisais de temps en temps (en vacances en fait), mais là, c'est fini.